14 juillet 2020 – 8h30 du matin
Le soleil est déjà haut lorsque j’atteins mon tout premier sommet en alpinisme.
Aiguille d’Argentière, 3901m.
Fatigue, fierté, joie.
Mais aussi de la peur. Peur à l’idée de redescendre ces 1100 mètres de dénivelé, entamés quelques heures plus tôt.
Ah, l’encordement en alpinisme… prise de risque maximum, nous entrons au cœur d’un puits de débats infinis !
A l’image de (presque) toutes les pratiques de haute montagne, il existe mille façons de faire, de défaire, d’évoluer, de choisir.
Bienvenue sur Objectif Alpinisme ! Si vous êtes nouveau ici, vous voudrez sans doute lire mon guide qui vous explique les 8 courses pour débuter l’alpinisme : cliquez ici pour télécharger le livre gratuitement ! 🙂Bienvenue sur Objectif Alpinisme ! Comme ce n’est pas la première fois que vous venez ici, vous voudrez sans doute lire mon guide qui vous explique les 8 courses pour débuter l’alpinisme : cliquez ici pour télécharger le livre gratuitement ! 🙂 « COOOOOORDE ! » C’est normalement…
Le piolet est l’accessoire indispensable pour aller en haute montagne. C’est même le symbole de l’alpinisme ! Que vous souhaitiez vous initier à la randonnée glaciaire ou à la cascade de glace, peu importe le degré de pente, il vous faudra donc un piolet… Comme souvent en ce qui concerne le matériel d’alpinisme, il existe différents modèles qui s’adaptent aux différentes pratiques. « À chaque besoin – son piolet » en quelque sorte. On ne fait pas Roche Faurio avec une paire de Nomic et on ne se lance pas dans les 5 intégrales de la Grave avec un Gully… Bon, en fait, on ne se lance pas tout court dans les 5 intégrales de la Grave, mais vous avez compris l’idée ! Si vous souhaitez comprendre les caractéristiques des différents types de piolets en alpinisme, alors reprenons les bases pour que vous puissiez vous équiper correctement.